• how sweet is george    

    That the Boy George presentation was a success and extended until the eight of the morning with him djing on the Terazza Ballantines everybody already knows. What little people saw was the charisma that he show for his public at Pacha.

    While the sound played to the end of his second set - he played before in the Domo - on the dancefloor, the DJ and singer took off the red hat and passed it in front of the cabin, as he was asking for contributions. The public embraced the idea and started to place money in the hat.

    After that, Boy George called the young woman who sell candies in Pacha and poured in her hands the collected amount. How sweet he was!

    Who told this was DJ Rodrigo Ferrari, resident DJ of Pacha that opened and closed the Domo for the former-leader of Culture Club.


    By Nathalia Birkholz
     

     


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    Kylie Minogue - Kylie X

    Artist: Kylie Minogue
    Album: Kylie X
    Composer: Jim Reid, William Reid & Calvin Harris
    Writers: Groove Armada & The Scissor Sisters
    Genre: Pop, Dance
    Label: Parlophone, Mushroom Capitol
    Release: September 27, 2007
    Bitrate: 192kbps
    Format: .mp3
    ID TAG: v1/v2

    TRACKS
    01. Excuse My French
    02. Fall For You
    03. In My Arms
    04. Stars
    05. (Everything) I Know
    06. When The Cats Walk
    07. Sensitized
    08. Lose Control
    09. Feels So Good
    10. White Diamond (Ellectrika's Burning Radio Remix)
    11. White Diamond (Live)
    12. Lose Control (Anthony Lago's Lost Soul Mix)
    13. Lose Control (Anthony Lago's Spiral Tide Mix)
    14. Lose Control (Anthony Lago's Turning Faster Mix)

    it will be Kylie's 10th studio album! Kylie has worked with many different artists and producers for this project including
    Calvin Harris, Groove Armada, Boy George, Amanda Ghost and Scissor Sisters.

     

    Kylie to come back with Boy George duet Originally recorded as a "joke," Kylie Minogue and Boy George's duet of Culture Club's "Victims" is now being considered for the first single from her upcoming album Kylie X, reports Web site Monsters and Critics. Minogue, 39, worked with Scissor Sisters, Groove Armada, Calvin Harris, and Madonna's producer Stuart Price on Kylie X, her 10th studio album.

    http://www.advocate.com/news_detail_ektid47676.asp

    Kylie To Release Culture Club Track?

    Kylie Minogue's comeback single may be a cover version of an old Culture Club track, after her collaborations with countless producers and songwriters failed to come up with an original song to rival the success of Can't Get You Out Of My Head. The pop pixie originally recorded 80s ballad, Victims, with Boy George for fun but Kylie's camp are now saying that the song may be released. An insider tells the Daily Star, “She recorded the Culture Club song and a version of Roxy Music's Love Is The Drug just as a bit of a laugh, but now both are up for first single.” Kylie has teamed up with everyone from Scissor Sisters and Groove Armada to Madonna's producer Stuart Price as she puts together Kylie X, as her 10th studio album is currently known.

    http://www.entertainmentwise.com/news?id=35225


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  • Faute de nouvelles fraiches de george, voici une interview de george que j'ai trouvé interressante de vous faire découvrir, si vous ne l'aviez jamais lu auparavant.

    Cette interview est tirré du magazine gayfriendlyparisien TRIBU MOVE.

     
     
     
    Comment t'est venue l'idée de monter "Taboo" ?
    J'ai participé à "Watch dogs", un talk-show dément style info-consommateurs dont j'étais la pause musicale, et quelle pause ! (Enormes rires). Aujourd'hui en Angleterre, il y a des variétés partout : à Télé Matin, au journal, à la météo, au tirage du loto... Dieu sait qu'ils ont gagné le gros lot quand j'y suis passé ! (Rires). Dans les coulisses, on m'a présenté Christopher Renshaw, célèbre réalisateur de comédies musicales du West End (Ndlr : Soho, coeur de Londres) qui m'a dit qu'il voulait en monter une nouvelle, dont l'histoire serait inspirée de deux livres : mon autobiographie "Take it like a man" (Ndlr : "Prends-le comme un homme") et celui de Sue Tilley "Leigh Bowery-The life and times of an icon". Sue est la biographe officielle de Leigh Bowery, le plus grand performer d'art contemporain de tous les temps ! A nos deux parcours, il voulait ajouter plusieurs figures emblématiques des nuits londoniennes comme Steve Strange, Marilyn et Philip Sallon. Après le triomphe qu'a connu Christopher avec "Mamma mia", son hommage à Abba, c'était un honneur qu'il s'intéresse à moi !

    "Taboo" était-il un challenge personnel ?
    Absolument ! Pour moi, c'était comme d'essayer de retranscrire en chansons tout ce que nous avions éprouvé durant cette époque : notre arrivée dans le milieu underground londonien, nos rencontres, nos sentiments... Pour être franc, je pensais ne jamais revoir Christopher ! Je lui ai dit que s'il revenait avec quelque chose de concret, ma porte lui serait toujours ouverte. Un mois et demi plus tard, il a réapparu et m'a proposé plusieurs auteurs pour le scénario. Je me suis alors enfermé dans ma cuisine avec Kevan Frost, mon guitariste et coauteur, pour composer les titres. Nous avons ensuite présenté le fruit de notre travail à nos amis et les réactions ont été plus qu'enthousiastes...

    Le thème abordé est-il la quête de sa propre identité ?
    C'est plutôt sur la recherche d'une famille adoptive, voire alternative à celle que tu as et qui t'aide à mieux vivre ta vie, parce qu'elle t'accepte telle que tu es, sans préjugés. Qui se ressemble s'assemble ! Dans les années 80, la plupart des ados qui venaient chercher du travail à Londres, appartenaient à des familles éclatées et avaient grandi dans les banlieues. Ils découvraient un monde nouveau, du genre : rencontre du troisième type avec les extra-terrestres. Quand j'ai commencé à sortir et à fréquenter le milieu de la nuit, David Bowie était pour moi un modèle et pour les autres, un monstre !partir. Finalement, cette chanson évoque une injustice qui donne naissance à la tolérance !
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    Comment as-tu découvert Euan Morton qui interprète ton rôle ?
    Philip Sallon s'est rendu à un atelier d'écriture auquel Euan participait. Comme d'habitude, il s'est engueulé avec les acteurs, le producteur, le scénariste, le réalisateur, l'éclairagiste... (Rires) Bref, avec tout le monde ! La seule chose positive fut sa rencontre avec Euan. Philip est ensuite venu me voir et m'a dit : "J'ai trouvé qui peut jouer ton rôle. C'est tout à fait toi à l'âge de dix-sept ans quand je t'ai rencontré !" Quand j'ai vu Euan pour la première fois, j'ai tout de suite dit à Philip : "Tu avais raison !" C'est comme ça qu'après bizutage, nous l'avons choisi... (Rires).

    "Taboo" raconte aussi l'histoire de Marilyn. Comment va ta meilleure amie aujourd'hui ?
    (Enormes rires) C'est une pute ! (Ndlr : George s'étouffe de rire et doit reprendre sa respiration). J'apprends le français en ce moment, je sais : tu vas me dire qu'il était temps... Alors je dirai que c'est une conne (Ndlr : en français). Je l'ai invité pour l'avant-première de "Taboo", j'ai donc envoyé un taxi à Elstree dans la banlieue de Londres où il habite. Le taxi l'a attendu pendant deux heures, mais il n'est jamais descendu. Ca m'a coûté la bagatelle de 427 Euros ! Je vais la tuer cette pute... Mais bon, comme dit Marilyn elle-même : "Marilyn est Marilyn !" Après cette histoire, il a quand même eu le toupet d'envoyer un ami voir le spectacle et la seule chose qu'il ait trouvé à faire, ça a été de me téléphoner et de me dire que l'acteur qui interprète son rôle n'est pas aussi beau que lui. C'est incroyable ! Mais bon Marilyn est comme le vent, il souffle dans tous les sens toute la journée et change régulièrement de direction. C'est une véritable girouette, mais je l'aime quand même !

    Tu rends hommage à Leigh Bowery, quelles étaient vos relations ?
    Comme l'a si bien dit Vivienne Westwood : "Au siècle dernier, la seule personne qui m'ait inspirée est Leigh et ce, pour l'éternité..." Elle a bien résumé la source d'inspiration permanente qu'il était pour la communauté gay, pour le milieu de la mode et aujourd'hui pour le show-business (Marilyn Manson...). Toutefois, il était complètement en marge de la culture gay et de ses clichés : un corps parfait, mince, bronzé, musclé... Il était aux antipodes des étalons Falcon ! (Enormes rires). Il ne se reconnaissait dans aucune culture, ni gay ni hétérosexuelle, parce qu'il faisait ce qu'il avait envie de faire. C'était vraiment un homme libre ! Comme il était avant-gardiste dans tous les domaines, je lui ai demandé plusieurs fois de me confectionner des costumes. Il a même participé au clip de "Generations of love", dans lequel nous "campions" deux travestis en train de faire le trottoir. Je me rappellerai toujours la scène suivante : il tapinait lorsqu'un automobiliste s'est arrêté pour lui demander les tarifs et finalement il a démarré. Au lieu de le laisser partir, il s'est énervé, s'est mis à courir après la voiture en plein Soho pour donner des coups de sacs à main et de talons aiguilles. C'était carrément la quatrième dimension ! Ca c'était Leigh... (Rires).

    Le personnage de Billy est inspiré de tes propres amants hétérosexuels (Kirk Brandon et Jon Moss). Sont-ils venus voir le show ?
    Je voulais éviter de parler de ma romance shakespearienne avec Jon Moss (Ndlr : batteur de Culture Club) parce que ça a fini tragiquement. C'est toujours la même histoire lorsqu'une folle tombe amoureuse d'un hétéro ! D'autant qu'à cette époque, j'étais un vrai petit chien ! En fait, j'étais aveuglé par l'amour et je faisais tout ce qu'il me disait : j'ai donc passé trois ans à sillonner le monde et à chanter "Karma chameleon", "It's a miracle" et nia-nia, nia-nia, nia-nia... (Ndlr : George blasé tire la langue). Je n'en pouvais plus !



    Aujourd'hui, es-tu toujours le chanteur de Culture Club ?
    Ah non, pas ça ! Ne m'en parle pas ! Je suis au bord de la dépression nerveuse... (Enormes rires). Je suis complètement gavé de Culture Club : en 1998 avec "The Big-rewind Tour", on a sillonné pendant trois ans la planète... comme à la grande époque ! On a chanté à Singapour, fait une tournée sold out dans des stades aux Etats-Unis et au Japon... Et le dernier soir, à San Francisco, je voulais tous les tuer ! (Enormes rires).

    Comme lorsque tu avais tes règles dans les années 80 !
    Non, c'était pire ! (Enormes rires). Roy Hay (Ndlr : guitariste de Culture Club) est rentré dans mon boudoir complètement bourré et a volé la bouteille de whisky que maman voulait boire. Ca a déclenché la troisième guerre mondiale ! Je lui ai demandé de lâcher cette putain de bouteille et il m'a répondu qu'elle était à lui. On s'est entre- tué, je lui ai dit que ça lui ferait du bien d'aller se faire enculer... peut-être que ça lui aérerait le cerveau ou ce qu'il en reste. Il m'a dit : "N'oublie pas qui a le pouvoir dans ce groupe !" Là, j'ai affûté mes ongles et je lui ai rétorqué que je n'étais pas là pour ça. J'ai fait mes malles et je suis rentré à la maison... Mais je te rassure, nous nous parlons à nouveau. Il est venu chez moi pendant deux semaines pour qu'on tente un nouvel album de Culture Club. Je lui ai dit que s'il y avait des participations d'artistes comme Missy Eliott, qu'il m'appelle, sinon le téléphone resterait en dérangement ! (Rires).

    Comment allez-vous fêter le vingtième anniversaire du groupe ?
    Au départ, Jon voulait faire un nouvel album. Il est venu me voir avec des maquettes, j'ai trouvé ça plutôt inégal et je lui ai dit que je voulais quelque chose de plus moderne.
    Donc l'idée est pour l'instant en stand by ! Ce qui est certain, c'est que nous allons sortir pour l'été une box set avec des remixes. Ce sera un double C.D. Sur l'un, il y aura des remixes et sur l'autre, les a capellas pour que les gens puissent faire leurs propres remixes à la maison. Avant, on faisait son pudding de Noël, aujourd'hui on fait ses remixes maison... (Rires). Richie Stevens (Ndlr : compositeur et producteur) est en train de remixer "Maybe I'm a fool", "Karma chameleon" et "Do you really want to hurt me".

    Maintenant que tu es Djette, n'as-tu pas envie de collaborer à nouveau avec le milieu dance !
    Maintenant que tu es Djette, n'as-tu pas envie de collaborer à nouveau avec le milieu dance !
    Je pense que si je fais un nouvel album, ce sera du reggae ou un album très intimiste, voire acoustique. Dans la lignée de "Cheapness and beauty", j'ai d'ailleurs déjà écrit sept nouveaux titres. En parallèle, ça ne m'empêche pas de faire un album de collaborations dance. J'ai fait deux titres avec le D.J. Judge Jules, un avec Adamski, un avec Sash ! et un autre avec Dark Globe : il s'agit de "Whole gyards", qui vient de sortir. Je ne chante pas forcément : certains ont choisi d'utiliser des samples de ma voix, d'autres de faire des remixes de titres qui existent déjà ; pour d'autres enfin, j'en ai écrit de nouveaux.

    La comédie musicale des Pet Shop Boys, "Closer to heaven", s'est arrêtée. N'as-tu pas peur pour "Taboo" !
    Non, car nous sommes bookés quoiqu'il arrive jusqu'au quatorze septembre. Du reste, on parle déjà d'une tournée en Australie et en Allemagne. J'ai été voir "Closer to heaven" et je regrette sincèrement que cela soit terminé. Pour moi, le problème est culturel ! A Londres, nous n'avons pas de théâtres gay où l'on pourrait y monter des spectacles, alors qu'aux Etats-Unis ça existe depuis au moins vingt ans. De plus, les jeunes gays pensent que la vie a toujours été facile pour notre communauté. Ils n'ont aucun sens des combats et de l'histoire ! Ils oublient que des gens comme Oscar Wilde, Quentin Crisp, David Bowie, Liberace, Danny Larue... se sont battus pour eux. Aujourd'hui j'ai quarante et un ans. Quand j'ai fait mon coming-out, j'en avais quinze et il n'y avait pas de scène gay, juste un pub pour drag queens... Avec Marilyn paré de nos plus beaux atours, on allait au "Black cap" à Camden. On nous refusait l'entrée parce que soit disant, elle était interdite aux femmes ! Ca voulait au moins dire qu'on était belles et que les gens s'y trompaient, même les gays... (Rires). Aujourd'hui tout a changé : si vous vous promenez à Soho ou Old Compton Street, on se croit dans un village homo. Il y a des centaines de mecs et des dizaines de pubs.

    Dans les années 80, tu avais fait scandale en disant : "Je préfère une bonne tasse de thé au sexe !" Est-ce toujours le cas ?
    (Enormes rires) Non ! (Ndlr : en français). Le thé, c'est tellement chiant ! J'en avais marre de ne pas avoir de relations sexuelles et d'être une vraie Mère Thérésa. Aussi ai-je décidé de me transformer en Pamela Anderson ! (Enormes rires). Je me sens mieux dans ma peau depuis que j'ai fait un régime. J'ai perdu du poids et les aventures ont commencé, en clair j'ai de nouveau des rapports sexuels.


    Ta comédie musicale "Taboo" est-elle une réflexion sur la société moderne ?
    "Taboo" n'est pas un documentaire, c'est plutôt une carte postale sur les années 80 ! On montre des personnages qui représentent cette époque, c'est même exagéré. C'est comme une peinture qui témoigne de son temps. On a mélangé les époques, les années, les personnages pour en faire un véritable spectacle et par exemple ce n'est pas l'histoire de Marilyn qui trouvait qu'il n'était pas assez présent sur scène. Je pense que cela reflète sincèrement ce qui se passait politiquement à Londres dans les années 80. Ce qui était formidable c'est qu'on avait des personnages politiques comme Margaret Tatcher et Ronald Reagan, ce qui a permis de motiver les gens à se rebeller contre l'autorité.

    A propos d'Euan Morton qui interprète ton rôle, tu as déclaré : "C'est exactement moi à 17 ans, je parlais du nez, je chantais du nez !"
    (Enormes rires). C'est vrai !

    As-tu été influencé par le cabaret ?
    Absolument, c'est ce que nous voulions faire dès le premier jour.

    Comment as-tu eu l'idée du titre interprété par Leigh Bowery "Inch bin kunst" ?
    Je dois t'expliquer la naissance de ce titre. Tu sais que l'une de mes meilleures amies est Eve Gallagher. Je faisais un D.J. set à Zurich et j'ai donc passé plusieurs jours avec elle. Elle m'a fait visiter la ville et il y avait un building fabuleux, le Kunst Palace. Je lui ai demandé ce que signifiait ce mot, elle m'a répondu "Art !" et toute la chanson est partie de là. Leigh chante "Je suis art" en français, allemand et anglais. Je pense que je devrais lui reverser des droits pour le refrain (Rires).

    Tu as souvent rendu hommage à Leigh Bowery : les chansons "Il adore", "Satan's butterfly ball", tu lui as dédié ton album "Cheapness and beauty". "Inch bin kunst" est-il le dernier ?
    Leigh était complètement en marge de la culture gay et des clichés du genre : un corps parfait, être mince, musclé... Il ne se reconnaissait pas non plus dans la culture hétérosexuelle. Il n'avait sa place nulle part, car il était libre. Il faisait partie des rares personnes dans ce monde qui font ce qu'elles ont envie de faire, tout simplement parce que ce sont des artistes. S'il ne se reconnaissait dans aucune culture, il a largement inspiré la culture gay et la mode. C'était un prescripteur de tendances et de modes. Nous étions proches, il me confectionnait des vêtements parce que j'aimais beaucoup ces idées avant-gardistes. Il était même apparu dans mon clip "Generations of love", travestis, nous faisions le trottoir toutes les deux et je me rappellerai toujours la scène lorsqu'il tapinait et qu'un automobiliste n'a pas voulu le prendre comme client. Au lieu de le laisser partir, il s'est énervé, s'est mis à courir après la voiture en plein Soho et donnait des coups de sacs à main et de talons aiguilles. C'était littéralement incroyable ! Ca c'était Leigh... (Rires).

    Est-ce que les membres de Culture Club sont venus voir "Taboo" ?
    Non, ca ne les concerne pas ! C'est plutôt une partie de mon adolescence avant la formation du groupe et les différentes rencontres qui ont bouleversé ma vie comme Philip Sallon et Marilyn. Je voulais éviter de parler de Culture Club parce que ça a fini tragiquement, c'est toujours la même chose lorsqu'une folle tombe amoureuse d'un hétéro et j'étais un vrai robot à cette époque. J'ai passé trois ans à sillonner le monde et à chanter "Karma chameleon", "It's a miracle" et nia-nia, nia-nia, nia-nia... (Ndlr : George blasé tire la langue). Je n'en pouvais plus !

    Les rumeurs sur Internet disent qu'un nouvel album de Culture Club, "Strange cargo", verrait le jour !
    No, no, no, no, non ! (Ndlr : en français). En fait, cette année nous célébrons nos vingt ans de création et Jon Moss (Ndlr : batteur de Culture Club et ex-amant de George) voulait lui aussi faire un nouvel album. Il est venu me voir avec des maquettes, je n'ai pas été très enthousiaste, c'est inégal, certaines choses sont bien d'autres non. Je veux quelque chose de plus moderne ! Pour notre anniversaire, nous allons sortir cet été une box set avec des remixes. J'aime assez bien l'idée d'un double C.D., l'un de remixes et le second avec les a cappellas pour que les gens puissent faire leurs propres remixes à la maison. Avant on faisait son pudding de Noël, aujourd'hui on fait ses remixes maison... (Rires). Richie Stevens (Ndlr : compositeur et producteur) est en train de remixer "Maybe I'm a fool", "Karma chameleon" et "Do you really want to hurt me".

    Tu as travaillé avec Faithless, est-ce que cela t'as donné envie de collaborer avec d'autres artistes de musiques électroniques ?
    Pas seulement, Quivver a fait des remixes de "Do you really want to hurt me" et "Time (Clock'of the heart)", un de mes meilleurs amis est FatBoy Slim... Je pense que si je fais un nouvel album, ce sera du reggae ou un album intimiste, très acoustique. Dans la même lignée que "Cheapness and beauty", j'adore des titres comme "Unfinished business", "If I could fly", "Il adore"... J'ai déjà écrit sept nouveaux titres. Un album de collaborations dance va voir le jour, j'ai fait deux titres avec le D.J. Judge Jules, un titre avec Adamski, Sash !, Dark Globe... En premier sortira donc un album acoustique et ensuite, juste avant Ibiza, l'album dance. Je ne chante pas forcément sur tous les titres, ça part un peu dans tous les sens : certains ont choisi d'utiliser des samples de ma voix, d'autres de faire des remixes de titres qui existent déjà ou j'ai écrit des nouveaux titres. Il n'y a pas une ligne conductrice.

    Pourquoi as-tu décidé de faire un remix d'un des titres du groupe pop Liberty ?
    Pour l'argent bien sûr ! (Ndlr : George est mort de rire).

    Où en es-tu de l'adaptation cinématographique de ton autobiographie "Take it like a man" ?
    Le film est dans l'air du temps depuis neuf ans. Ca devient un véritable cauchemar ! On a démarché aux Etats-Unis, en Allemagne, partout pour la production et le financement. Comme un film coûte très cher, les producteurs sont très frileux d'investir de l'argent dans un film orienté gay. Le politiquement correct reste de rigueur aux Etats-Unis, donc un film provocant, voire outrageux n'est pas à l'ordre du jour. Il faut toujours être safe ! (Rires). Le meilleur film que j'ai vu depuis cinq ans est "Edwig and the angry inch". Ca m'a beaucoup surpris qu'un film pareil puisse avoir autant de succès aux Etats-Unis, parce qu'il n'est pas évident. C'est ce genre de film que j'aimerais faire, en attendant que ce soit d'actualité, je pense que c'est le spectacle qui sera filmé en premier.

    Vu le triomphe de ta comédie musicale, il se puisse que le film voit le jour dans la foulée !
    Pourquoi pas ? On a déjà des propositions pour exporter le spectacle en Allemagne et en Australie.

    Des mauvaises langues disent que tu as eu l'idée de monter ta propre comédie musicale après avoir vu celle des Pet Shop Boys "Closer to heaven", est-ce vrai ?
    Pas du tout ! Quand une idée est en l'air, elle n'appartient à personne. Il est vrai que le timing du spectacle peut faire penser cela, mais c'est faux. Pendant que Neil et Chris travaillaient sur "Closer to heaven", je travaillais sur "Taboo". J'avais au départ demandé à Andrew Lloyd Weber de produire "Taboo", mais il venait d'accepter de produire "Closer to heaven". J'ai alors refusé pour ne pas qu'il y ait de conflit d'intérêt. Tout simplement !

    Paul Keating, le héros de la comédie musicale des Pet Shop Boys "Closer to heaven", devait-il jouer ton rôle ?
    Pas de chance ! Ah, si seulement... C'est ce qu'il veut, quand il veut ! (Enormes rires). Je pense que ce n'est pas bien qu'un acteur homosexuel interprète un personnage gay. J'arriverai facilement mieux à jouer un personnage hétéro plutôt qu'un gay ! (Rires).

     


     

     


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    Premièrement, je regrette que la tournée n'ait pas lieu comme prévu et j em'excuse auprès de vous tous, loyaux, gentils et fervents fans et amis, qui avez acheté des tickets pour chaque show.
    Je pense, avec mon profil musical si difficile et presque invisible, que cela aurait été plus que fou de faire une tournée si grosse et si aventureuse.
    Je suis bien conscient que les années 80 sont finies mais tant de personnes autour de moi semnlent ancrées et refusent simplement de dépasser 1984.
    Ils pensent à tort que mes gloires pasées suffisent à remplir les salles mais je n'ai pas de profil artistique et un travail sérieux doit être effectué pour ne pas ternir ma réputation. J'ai besoin de rappeler aux gens que je suis un artiste créatif et pas une pute en chapeau qui a seulement de vilaines choses à dire sur presques tout le monde.
    Si vous êtes Eminem, vous êtes libre à 100% d'insulter qui vous voulez, ou si vous êtes un membre d'Oasis.
    Quand une grande gueule de mauvais garçon s'exprime, cela est perçu comme de la franchise et un bon humour, mais quand un homo donne son opinion, il est juste amer et jaloux.
    S'il vous plait, ne pensez pas que je me réinvente et que je vais commencer à jouer du tambourin, mes opinions ne changeront pas mais je vais arrêter de porter de l'attention à des fous ennuyeux et sans talents.
    Je suis honnête quand je vous dis mon désir de faire du live mais je ne dois pas entreprendre une tournée mal plannifiée et sans connexion avec un nouvel album ou un plan pour ré-établir ma carrière musicale.
    Je sais que beaucoup d'entre vous ont des idées arrêtées sur ce que je devrais faire et les raisons pour lesquelles je suis dans la position dans laquelle je me trouve en tant qu'artiste.
    En fait, je n'ai pas mis d'énergie pour trouver un contrat d'enregistrement dans une maison de disque car pendant longtemps j'ai penséque je n'avais pas ma place dans le monde pop tel qu'il est aujourd'hui.
    Pendant de nombreuses années, je n'ai reçu aucun soutien radio et j'ai sorti  "Time Machine" quand on m'a dit que Chris Martin, un compagnon gay à la tête de la programmation radio ne m'aimait pas trop et n'autoriserait pas la diffusion de "Time Machine" à la radio?
    Je n'ai jamis rencontré cette pouf mais je le soupçonne d'être un ami d'Elton qui est le nouvel ami de Dorothy!
    Oops, j'ai parlé sur la pute de la mode!
    Je réalise que je ne peux pas compter sur un manager pour comprendre cequ'il faut pour me placer dans une postion plus saine en tant qu'artiste.
    Je dois commencer à utiliser mon cerbeau et prendre les décisions qui regardent vers le futur.
    En attendant, je devrais sortir une sélection de morceaux dance. J'ai juste complété la vidéo pour le nouveau mix de ragga music que j'ai rebaptisé "Batty nah business" ainsi que pour "D'ont wanna see myself" et "Turn to dust". Si je dois fabriquer les CDs moi même et les vendre par le biais de 100% boyje le ferai.
    Je vous asure que je suis très exité à l'idée  de créer de la musique à nouveau et mon but est qu'elle soit remarquée par les radios par n'importe quel moyen et je ne me ferai pas jeté.
    Je vous aime tous.
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    London, England (BANG) - Boy George wants to become a policeman. The 'Karma Chameleon' singer - who was arrested in 2005 on suspicion of cocaine possession - has revealed he took a liking to the officers who arrested him and is considering joining their ranks.

    According to website MSNBC, George said on a recent trip to Brazil: "Being arrested in America is terrible. I don't wish it to anyone."

    "At first I was sad and scared, but, within time, the police gave me support and tranquility. I ended up getting close to them, maybe it will be my next job!"

    The 46-year-old pop star was taken into custody after telephoning police to report a burglary at his New York apartment.

    Upon their arrival, officers found that George's home had not been broken into, but discovered he had been using drugs and found a large amount of cocaine in the apartment.

    He received a community service sentence for wasting police time and had to work as a garbage man on the streets of New York last August.

    George was arrested again in April this year in London for allegedly imprisoning and assaulting a Norwegian man he invited to his apartment.

    http://www.allheadlinenews.com/articles/7007921701


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