• Leader de Culture Club et icône des 80’s, George Alan O’Dowd aka Boy George a réussi à se construire une solide carrière solo. Outre ses albums studios, le Britannique a ajouté une nouvelle corde à son arc : le DJing, au plus haut niveau et avec les honneurs de la presse spécialisée anglaise. Après huit ans d’absence discographique, on le retrouve avec un nouvel opus entre pop et club.

    Que s’est-il passé depuis huit ans pour toi ?
    Ces années se sont révélées être plutôt fructueuses, même si l’on m’a moins vu sur le devant de la scène, quoique… J’ai réalisé un album plus confidentiel sous le pseudonyme de The Twin, j’ai signé la comédie musicale Taboo qui s’est jouée à Londres et à Broadway. Et puis j’ai eu de nombreuses dates comme DJ et j’ai réalisé des compilations de mixes. Je n’ai donc pas chômé, loin de là ! Ça ne m’empêche pas d’être très heureux de revenir à un album au format plus pop.

    Pourquoi intituler cet album Ordinary Alien ?
    Tout simplement parce que je pense être une personne assez « normale ». Ce sont les autres qui me trouvent étrange. Le titre joue sur ces deux tableaux. Il y a une partie de moi qui s’est toujours sentie à part.

    Comment fonctionnes-tu pour l’écriture et la production ?
    Pour cet album, j’ai travaillé avec Kinky Roland : j’aime son approche très mélodique de la musique, avec une certaine mélancolie. Il est vraiment passionné par ce qu’il fait et c’est un bon ami. Il y avait beaucoup de morceaux que nous n’avions jamais sortis, c’était le moment de réunir ce matériel pour lui donner vie.

    Depuis tes débuts dans les années 80, tu n’as jamais arrêté de virevolter d’un projet musical à l’autre…
    C’est vraiment génial d’avoir le choix, mais ma passion première, c’est de créer ma propre musique. Cela m’a donné une voix et j’ai tellement à exprimer et à partager avec le public.
    Quelle est la genèse de cet album ?
    Il a été réalisé sur une longue période : un des morceaux a été écrit il y a près de vingt ans avec Nick Holloway, mais à cette époque, je ne l’aimais pas et on ne l’avait jamais terminé. Et lorsque je cherchais du matériel pour ce disque, je suis retombé sur l’enregistrement de ma voix et j’ai trouvé ça très bien. Avoir l’esprit libre et clair m’a permis de travailler sur ce disque de la même manière que sur The Martyr Mantras. C’était aussi l’idée de ce disque. Parce que je joue plus souvent comme DJ que je ne chante, réaliser un album sur ma nouvelle vie me paraissait évident.

    Quelle est l’histoire de « Amazing Grace » ?
    Étrangement, je suis un incorrigible optimiste et cette chanson part de l’idée que les choses ne peuvent que s’arranger ! En enregistrant l’album, je ne m’en suis pas rendu compte, mais c’est un disque très positif dans sa démarche et dans son ton.

    Tu sembles plus en phase avec ton temps que tu ne l’as été depuis longtemps…
    À un certain moment, j’ai senti que le milieu de la musique passait par le marketing et le formatage à outrance. Depuis quelque temps, on est revenu à une certaine âme avec des artistes comme Amy ou Adele : je voulais de nouveau faire partie de ce mouvement où je me reconnais. Tu sais, dans mon show, je mélange beaucoup d’éléments : un peu de glam-rock, le style pop, du gospel, du jazz… Je revisite mes classiques, mais aussi des reprises surprenantes et des titres club. J’ai hâte de revenir au live !

    BOY GEORGE
    Ordinary Alien
    (Back Up Recordings)

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  • L e chanteur Boy George, icone des années 80, n’a plus le droit de se rendre aux Etats-Unis. Depuis 2005, il n’a plus mis les pieds aux USA et ça lui manque terriblement…

    Le chanteur britannique Boy George est bel et bien déterminé à casser ce jugement qui l’empêche de se rendre aux Etats-Unis. L’artiste, a été arrêté en 2005 par les policiers, après que ces derniers aient trouvé de la cocaïne dans son appartement newyorkais. Pourquoi les policiers sont ils allés dans son appartement ? Parce qu’il avait appelait pour dénoncer un cambriolage qui venait d’avoir lieu. Boy George a toujours nié que la drogue était à lui. Mais l’histoire est encore plus dingue quand on apprend que le chanteur a par la suite plaidé coupable pour avoir simuler un cambriolage dans son appartement, histoire de toucher de l’argent de l’assurance…Entre ça et la drogue trouvée, il s’en est tiré avec quelques jours de travaux d’intérêts généraux et un tour en rehab. Mais ce n’est pas tout puisqu’il n’a plus le droit de se rendre sur le continent américain.

    Et ça lui fait très mal, il déclare à Pink News : "J’essaye de résoudre ça. Je veux tellement retourner aux USA. Je sais que j’ai fait de la prison, mais aux yeux de la loi j’ai payé pour ce que j’ai fait. Etre banni d’un pays, ça prolonge juste la peine. C’est comme si l’idée de réhabilitation n’existait pas."

    Il est vraiment dégoûté Boy George car il pensait qu’après avoir nettoyé gratuitement les rues de New-York il aurait le droit d’en fouler le sol…

    http://www.public.fr/News/Boy-George-son-dur-combat-pour-revenir-aux-Etats-Unis-165037


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