• CRITIQUE DE BRIAN MOLKO (placebo)

     

    Androgynie et mélancolie, telles sont les deux mamelles de Placebo. Sur le papier, cela rappelle fâcheusement Mylène Farmer. Erreur. « Mes chansons, n'en déplaise à la charmante Mylène, ont plus de profondeur que «Fuck Them All''», précise Molko. Depuis 1996, année de la naissance de Placebo, on lui compte pour une grande audace de se mettre du mascara sur les cils. Depuis dix ans, en bon maquignon du rock, il aime à vanter les vertus subversives de la bisexualité, mais confesse aujourd'hui ne plus porter de robe : «J'ai 33 ans. Je ne voudrais pas finir par ressembler à Boy George.» Il se dit revenu des cuites et des excès toxicomanes. Peut-être craignait-il aussi qu'on finisse par le confondre avec Peter Doherty. Il se verrait bien vieillir comme son ami Bowie ; les deux gentlemen s'envoient, chaque année, une carte de Noël". EtrangeBrian Molko, si culturellement correct.

    CD : «Meds», EMI.
    En concert : le 30 mai à Orléans, le 31 à Besançon, puis en tournée en France. Le 2 octobre à Paris-Bercy.

    Brian Molko est né à Bruxelles en 1973. En 1996, il sort son premier album avec Placebo. Le trio a vendu 10 millions de disques dans le monde.


  • Commentaires

    1
    tiffen
    Samedi 3 Juin 2006 à 17:45
    brian
    Hum pas tres simpa... dommage j'aime bien Placebo et je ne voyais pas Brian faire de pareilles critiquent
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