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The Sunday times magazine DIMANCHE 12 NOVEMBRE 2006
POPPED IDOL
Boy George has always desperately wanted to be understood, but not necessarily accepted. It's impossible to pin him down. He won't be boxed. So he wants love, but hates the idea of gay marriage. He claims intimacy matters to him, but he's happiest living alone. They'd have to be really good in bed to get me to live with them.
It's this very contrariness that has made him an icon. With his band Culture Club in the early 1980s, he shocked and delighted in equal parts, attacking stereotypes and rejigging boundaries. With his pigtailed hair and come-to-me eyes, he looked like a girl but took it like a man. Big hands, a genetic inheritance from his father, Jerry O'Dowd, the boxer and builder whose volatility, machismo and sweetness he also inherited. George looks like his mother, Dinah. They have the same penetrating eyes, which speak of sadness and courage. Both suffered physically at the hands of his father, who punched Dinah in the stomach when she was pregnant.
George left school in his early teens (at 13 or 15, depending on who you ask) to work in a clothes shop in Soho. He lived in a squat, worked as a cloakroom attendant at Blitz club (where he stole cash from the till and met Malcolm McLaren), was a model and briefly joined the band Bow Wow Wow before forming his own. His glory period was 1982-6, when Culture Club sold 35m records. Do You Really Want to Hurt Me and the jaunty Karma Chameleon were the hits, but it was songs like Victims that showcased his lyrical talent and his gift to articulate pain. As a butch man who could appear as a beautiful girl, he made his fans believe that they too could transform themselves. But by the time the album From Luxury to Heartache appeared in 1986, the luxury had gone and the heartache was gaining pace.
L'idole de sa comédie musicale de Broadway est effondré, il n'a pas fait parler de lui musicalement pendant des années, et la seule médiatisation qu'il est eu récemment était pour balayer les rues de New York. Boy George ne peut-il jamais revivre les joies de son succès passé ?
<o:p> </o:p>Boy George a toujours désespérément voulu être compris, mais ne pas être nécessairement accepté. Il est impossible de le démoraliser. Il ne sera jamais prisonnier dune étiquette. Ainsi il veut l'amour, mais réprouve l'idée du mariage gay. Il réclame des moments d'intimité à lui, mais il est, seul, le plus heureux : « ils devraient être vraiment bons dans le lit pour m'obliger à vivre avec eux." C'est ce contraste qui a fait de lui une icône. Avec Culture Club au début des années 80, il a choqué et a enchanté dans les chaumières, attaqué les stéréotypes et a repoussé les frontières. Avec ses perruques et ses yeux maquillés, il a ressemblé à une fille mais qui aime les hommes. Ses grandes mains, un héritage génétique de son père, Jerry O'Dowd, boxeur volage et maçon qui mêlait machisme et douceur, qu'il a également héritée. George ressemble à sa mère, Dinah. Ils ont les mêmes yeux perçants, qui parlent de tristesse et de courage. Tous les deux ont souffert physiquement des mains de son père, qui ont tapé Dinah dans l'estomac quand elle était enceinte. George est parti tôt de l'école dans ses années de l'adolescence (à 13 ou à 15, selon à qui vous demandez) pour travailler dans un magasin de vêtements dans Soho. Il a travaillé en tant que vestiaire au club Blitz (où il a volé de l'argent dans les vêtements jusqu'à ce quil rencontre Malcolm McLaren). Cétait son modèle jusquà ce quil fasse sa propre musique et fonde son propre groupe : Culture Club. Sa période de gloire était de1982 à 86, quand Culture Club a vendu beaucoup de disques. « Do you really want to hurt me » et « Karma Chaméléon » étaient des tubes , mais ceux sont des chansons comme « Victims » qui ont présenté son vrai talent lyrique pour chanter sa douleur. En tant qu'homme il pouvait apparaître comme belle fille, il a fait croire qu'il pourrait aussi se transformer. Mais avant que l'album « From Luxury »soit sorti en 1986, le luxe avait disparu et le chagrin d'amour gagnait le pas.
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